jeudi 21 janvier 2010

Explicite certe... mais le message passe non?

Ci-dessous un spot d'une campagne de pub qui a fait polémique sur le net. Spot français conçu pour AIDES.


Alors la question de fond, pensez-vous que le message passe ou qu'il est perdu ?

mardi 5 janvier 2010

Supplice de tantale: les variantes

Au long de ces 2 petites années de rencontres légères, il m'est arrivé plusieurs fois de rester sur ma faim ... comme une gamine devant un chou à la crème, sauf que là le choux à la crème n'était pas derrière une vitre et avait fait tout ce qu'il avait en magasin pour me chauffer.Voici donc une mini liste de situations où je me suis retrouvée à batifoler avec un mec à mon goût, un mec auquel je faisais de l'effet ... et patatra...


Le très classique cas du monsieur qui est en couple et n'a plus l'habitude du préservatif - et sa variante, le monsieur était en couple et n'a plus l'habitude du préservatif. Le premier est très chaud et tout excité de parcourir de nouveaux pâturages, il est tout-fou et ne voit pas venir le piège du préservatif qui tombe comme une sentence ou un rappel à l'ordre qui sait ;). Le second est plus triste, il sait qu'il va avoir à affronter le triste-bonnet, il appréhende en silence, se motive, tente de contrôler.... et le couperet tombe. Le premier peut s'en sortir par une discussion détendue, le second n'en a pas la force et s'enferme.
Le moins classique cas du mec qui sort sans ses préservatifs.Pas grave me direz-vous, il y a des pharmacies partout ou presque... oui certes. Sauf qu'il a lui besoin des préservatifs machin-chose, d'une taille spéciale, d'une finesse particulière, et que lorsqu'il enfile autre chose, c'est la bérézina. J'ai un souvenir assez mémorable de m'être retrouvée au comble de l'excitation à devoir me raisonner et me contenter de câlins bien rares une fois que le mec à eu tenté deux fois d'enfiler les micros costumes que j'avais avec moi. C'étais rafraichissant .... :)

Le très commun cas du garçon qui a beaucoup à dire sur sa compagne ou son ex et qui malgré lui embraye sur le sujet; avant, pendant... bref, la pour le coup, la castration est purement morale... le fantôme de la compagne est redoutable.

Un autre cas courant, pour lequel souvent l'effet n'est pas anticipé, le mec qui est désarmé par l'alcool. Il le sait bien pourtant, mais "j'en ai bu presque rien".... "et ça me fait pas toujours ça". Des baffes qui se perdent !

le triste cas de l'éjac précoce... no comment.

Alors oui, au début, j'ai culpabilisé.... je me suis demandé où est-ce que j'avais péché, ce que j'avais raté. Je suis aussi passée par la phase "quel salaup, il était là pour tirer un coup et n'avait pas envie de moi", par la phase de l'over-activité pour tenter de relancer la machine, par la phase de l'hyper-communication pour aider à passer le cap. Au final, rien n'y fait, ça se passe dans leur tête et globalement on n'y peut rien de rien. Donc, autant au moins ne pas en plus se prendre la tête sur le sujet. Comme dit ce très chouette article du blog du sexe-faible.fr: "la bite, c'est pas automatique".

Seul point commun à toutes ces situations ? L'absence complète de compensation: ils sont tous incapables de se servir de leurs doigts, de leur langue, de caresser ou de faire un massage. Bref, dès que popol est en berne,  impossible de penser à autre chose. Snif. On se prendrait à rêver de recors sur-humains.... pendant une minute ou deux ;)



PS: A la réflexion, autre point commun d'importance, on les revoit pas les mecs qui tombent en panne...ils disparaissent dans les limbes sans demander de seconde chance.