vendredi 5 août 2011

Rencontre...

Notre première rencontre a mal démarrée...j'étais à l'heure après 45 mn de route, lui en retard pour rentrer chez lui, en retard sur le SMS qu'il m'a laissé pour me prévenir.. et oui je l'ai envoyé voir ailleurs en refusant de revenir en bas de chez lui.

Il a su s'excuser, ne pas chercher à tout pris à avoir raison et comprendre mon énervement à être traitée par dessus la jambe. J'ai apprécié son écoute et sa sobriété, son talent de communication. Je me suis calmée et j'ai accepté de revenir, mais pas chez lui, de sortir boire un verre. Au final, nous sommes allé mangé dans un restaurant japonais. Discussion voyage, découvertes, dépaysement, curiosité. Il est cultivé, je le savais déjà. Il est beau gosse, je le savais aussi. C'est sa façon d'écouter, d'être attentif qui me donne envie de le revoir et ... de le goûter. je me dis que cette attention là est prometteuse pour une rencontre à l'horizontale. Je suis sous le charme malgré ma colère récente. 

La rencontre suivante a lieu dans les 3 ou 4 semaines qui suivent, chez lui. Appartement très sobre, mais meublé avec goût. Surprenant pour une coloc de deux jeunes étudiants quasi trentenaires. Mais cela va avec sa personnalité réfléchie. J'aime assez. Il me trouve un peu timide.. je réponds que j'observe :) Il se rapproche et m'embrasse. J'aime ses lèvres, son goût. On se découvre doucement... il se bat avec mes vêtements et tente de libérer mes seins... je l'aide. Ses mains sont froides... mais ses caresses sont douces. Mes mains baladent aussi sur sa peau, son dos, ses fesses, sa nuque. J'apprécie son corps et le temps se fige... nous en profitons tous les deux, les sensations sont pleines, nettes, me transportent, nous transportent. Il est mâle, il me pilote doucement, à l'écoute de mes variantes et ajustements. Une jolie longue après midi qui se transforme en soirée... que nous interrompons d'urgence en réalisant que le temps file et que l'avion de son coloc ne va pas tarder à atterrir :)

1 commentaire:

  1. Merci Claire, j'adore cette chronique toute simple, pleine de bonne humeur et d'un érotisme discret.
    Ulysse

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